Fini le Père Noël rouge du Coca-Cola et l’indigestion du 25 et du 26, cette année c’est décidé, l’évêque se met au vert et le repas de fête sera bio, ou ne sera pas ! Car oui, on peut remplacer l’habituel entrée de foie gras, ne serait-ce que par du saumon fumé bio ou bien même par une série de petites entrées originales à base de mousse à l’agar-agar, d’algues bref, par un plat qui laisse parler votre imagination sans oublier pour autant l’exigence bio du jour.
Et puis, vous pouvez aussi consommer des huîtres à volonté : non seulement elles sont bonnes pour la santé mais en plus, sont aussi toutes bio : riches en oligo-éléments et vitamines mais pauvres en calorie, les huîtres sont élevées dans la mer, sans ajout de produits chimiques et dans des zones qui sont l’objet de contrôles sanitaires extrêmement stricts. Pour le champagne, mieux vaut privilégier le champagne « bio », surtout lorsque l’on sait que la production et la commercialisation d’une seule bouteille de champagne génère 2,5 kg équivalent CO2. Si vous êtes persuadé (voire même convaincu, tout se discute, surtout en sciences) que le réchauffement climatique est lié aux émissions de CO2 de l’homme, privilégiez le champagne « bio » issu de cépages biologiques, mais comptez entre 20 et 30 euros la bouteille. Enfin, une bûche originale pourrait clore votre repas de noël bio. Remplacer la crème au beurre est simple : on peut réaliser une crème fruité d’agar-agar ; c’est simple et original, et puis cela permet toute sorte de variations. En tout cas, mieux vaut le confectionner soit même car le label bio reste quasiment impossible à trouver dans les pâtisseries.
Pour les plus courageux, voici quelques idées de recettes bios économiques et faciles à réaliser. En cherchant un peu sur internet, vous pourrez ainsi apprendre à confectionner une glace au tofu-chocolat, une crème choco-gingembre, ou encore un gâteau au potimarron et noix bio, à faire avec les enfants pour un noël sincère et familiale.
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